Quelle joie de pouvoir enfin voir le fameux panneaux de l'aéroport souhaitant la bienvenue au Japon, ça y est nous sommes vraiment en terre nippone.
Mais avant de commencer réellement notre périple, nous devons encore passer au bureau de change, pour avoir de la monnaie japonaise... mais malheur dans la file d'attente je remarque toute une rangée de magazine et prospectus gratuit... Je ne résiste pas à l'appel, je laisse Eloïc faire la queue, et je vais chercher quelques de ces documents fort intriguant.
Les magazines et brochures touristiques japonaises... le début d'une grande histoire d'amour, au grand drame d'Eloïc, qui lui se soucie du poids des bagages.
Mais après le bureau de change survient notre premier drame Japonais, Eloïc m'annonce en panique qu'il a perdu la feuille de route, avec l'itinéraire pour aller à l’hôtel, que j'avais précautionneusement imprimée avant de partir... Après quelques minutes de recherches infructueuses, je lui propose de se calmer et d'essayer de retrouver notre chemin à l'aide des informations que j'avais noté dans mon carnet et des cartes de la villes que nous avons téléchargés sur la tablette.
Nous nous dirigeons donc pour prendre le Narita Express, afin de rejoindre notre hôtel. Mais en bons parisiens que nous sommes, habitués au RER et ses emplacements libres, nous nous laissons surprendre par le fonctionnement japonais, et ces places numérotés. Nous sommes donc contraint de traverser tout un wagon avec nos grosses valises, sous le regard médusés des voyageurs tokyoïtes.
Mais nous sommes sur la bonne route pour aller à notre hôtel, donc tout va bien!
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